Selectt parle de Ghost Recon : Wildlands
Salut, petit aparté avant le début de la chronique, je me présente vite fait, donc moi c’est Selectt, j’ai déjà donné mon avis sur certaines chroniques, je suis un petit rageux un peu fou enfin voilà, je vous laisse prendre part de ma première chronique.
Ghost Recon : Wildlands est un jeu développé par Ubisoft, il fait partie de la saga des Ghost Recon (le quatorzième opus), sortie le 7 mars 2017. Il s’agit d’un jeu de tir et d’infiltration à la 3e personne (excepté la visée à la 1ere personne) avec un monde ouvert, se déroulant dans une Bolivie contrôlée par le cartel de drogue dirigé par « El Sueño ». Nous incarnons un membre de l’unité d’élite des « Ghost Recon », une équipe composée de 4 membres en mode solo (vous et 3 bots) mais le nombre de membres vari en mode coopération (de 2 à 4 joueurs). Notre objectif est de démanteler le cartel afin d’interrompre la corruption qui sévit dans le pays et redonner leur liberté aux civils exploités dans la production de drogue. Pour cela il faut éliminer 16 mini-boss de 4 sections différentes du cartel (la production, le trafic, l’influence et la sécurité) afin d’atteindre 4 boss (à savoir 1 par section du cartel) qu’il faut ensuite vaincre pour enfin atteindre « El Sueño » et finir l’histoire principale du jeu. Tous les boss et mini-boss sont dispersés dans différentes zone de la carte.
Le jeu se prend facilement en main, il est très intuitif, il n’y pas vraiment de tutoriel du fait que les touches nous sont quasiment toujours indiquées dans un coin de l’écran (comme dans les véhicules), le système de combat est assez simpliste, tandis que celui d’infiltration est lui très immersif. Actuellement je n’ai pas encore terminé l’histoire principale du jeu (environ 70% pour un temps de jeu de +29h) car celle-ci n’est pas réalisable d’une traite, dans certaines zones les missions principales se débloquent grâce à des « intels critiques » qui sont principalement des ordinateurs à pirater ou bien quelques fois des membres du cartels qu’il faut interroger avant de le neutraliser (souvent d’une balle dans le crâne). Il y a bien évidement des missions secondaires déblocables en se baladant sur la carte ou bien en interrogeant des rebelles ou des membres du cartel sur leur position. Les missions secondaires aident fortement à avancer dans le jeu car grâce à celles-ci nous débloquons des « appuis rebelles » fortement utiles tels qu’un déploiement de véhicule, un bombardement ou bien le support de rebelles nous accompagnant au combat, et bien d’autres. Ces différentes aides possèdent différents niveau c’est pourquoi il est intéressant de faire les missions secondaires, par exemple le déploiement de véhicule : au premier niveau les rebelles nous envoient une camionnette, au second niveau un véhicule blindé et enfin au troisième niveau un hélicoptère.
En conclusion ce qui m’a vraiment plut jusqu’alors c’est la liberté que le jeu nous propose en nous laissant le choix de nos destinations ou de l’ordre dans lequel nous voulons faire les missions, le mode coopération est très intéressant et amusant en compagnie d’un ou plusieurs amis, cela peut donner des situations très cocasses. Enfin pour finir, le jeu est très beau (malgré que mon ordinateur ne lui permette pas d’exploiter ses pleines capacités graphiques) et je prends vraiment du plaisir à jouer seul ou avec des amis, le jeu est très satisfaisant de par sa durée de vie (pas exceptionnelle mais suffisante) et de la sensation de liberté totale qu’il nous procure.