Premières impressions :
Doom
Aujourd’hui on parle de DOOM, et plus précisément de la version de cette année. Je préviens tout de suite, non je n’ai pas joué aux précédents DOOM et je débraque donc dans cet univers en néophite bien que je connaisse la réputation et quelques éléments de la série.
Je me suis donc lancé dans l’univers démoniaque de DOOM histoire de tenter l’expérience et de voir ce que cela peut donner en 2016. Et pour le moment je peux vous dire qu’en jouant en ultra sur du 24″ on en prend plein la vue. Le jeu est magnifique et l’ambiance très prenante. J’aime beaucoup l’idée que le jeu nous dise plus ou moins « bon, voilà, il y a un scénario, nous aussi on s’en fiche un peu, la castagne c’est par là ! » en jouant avec les codes classiques. Mention spéciale à la voix off qui se prend une belle droite dans les débuts du jeu.
Au premier abords quand j’ai vu l’étendue des améliorations, du background et des menus j’ai eu peur de me retrouver perdu mais au final si on laisse un peu de côté les longs textes de background le reste se décante plutôt bien puisque tout est distillé petit à petit.
Entrons dans le coeur du sujet puisqu’on est tout de même là pour exploser du démon en masse. Je passerai plus de temps à parler du contexte et de l’histoire dans la chronique complète. Éclater des démons avec des armes toujours plus monstrueuses est très plaisant et on prend beaucoup de plaisir à jouer à DOOM. J’ai laissé le niveau de difficulté sur celui recommandé et je la trouve (pour le moment du moins) bien équilibrée, je n’ai pas vraiment eu de moment de frustration ou au contraire de trop grande simplicité.
Pour ces 3 premières heures, DOOM est un superbe défouloir où on peut venir et tuer tout ce qui bouge sans être coupé toutes les 5 minutes par une cut-scene. On prend le temps de jouer, d’explorer et surtout d’améliorer ses réflexes pour tenter le plus de morts stylées possibles.
Je retourne donc déboiter du démon et on se retrouve bientôt pour la suite de DOOM !