Premieres impressions :
Deus Ex : Mankind Divided
Deus Ex : Mankind Divided est la suite de Deus Ex : Human Revolution et s’inscrit dans la série des Deus Ex. On incarne donc une nouvelle fois Adam Jensen, mercenaire cyborg, au sein d’un monde futuriste divisé par la question des augmentations mécaniques. Si vous ne connaissez rien au monde de Deus Ex tout décrire serait très long, mais pour (beaucoup) simplifer l’action se déroule dans un futur proche où les prothèses mécaniques se sont démocratisées et servent à améliorer les capacités humaines, à remplacer un membre ou à simple but esthétique. Les riches sont bien mieux lotis en termes d’accès à ces améliorations. Suite aux évènnements du précédent opus la population est divisée et rejette massivement les humains « augmentés ». Si vous n’avez pas fait Deus Ex : Human Revolution (ou si vous ne vous souvenez pas de tout), une longue séquence cinématique vous résume tout en début de jeu pendant un gros quart d’heure.
Une fois le décor posé, on est lâché dans une mission qui sert de base à l’histoire mais qui fait aussi office de tutoriel. Et on retrouve l’interface chargée de la licence. On retrouve les différentes subtilités, car Deus Ex fait partie des jeux où l’on peut tenter différentes approches et différents chemins pour atteindre l’objectifs avec des incidences plus ou moins marquées pour la suite du jeu. Ici j’ai choisi une approche discrète et non létale. Je ne saurais pas dire quelle approche est plus simple. Ce qui frappe dès le départ c’est la richesse de l’univers. Les rues sont remplies d’individus crédibles et on ne ressent pas l’aspect clône que l’on avait dans Dishonored 2 par exemple. Les graphismes sont superbes et la pression sur les « augmentés » est palpable partout.
La prise en main peut être assez difficile au départ du fait du grand nombre de touches pour les raccourcis, les pouvoirs, les actions physiques etc… Mais une fois habitué le tout reste jouable même si on ne retient pas tout. L’histoire est prenante et l’ensemble forme vraiment un tout cohérent et crédible et je vais donc continuer et voir comment ce monde qui nous attend peut-être évolue.